La bourse Fulbright offre de nombreux avantages, mais elle demande un investissement personnel pour en bénéficier. Pour être sélectionné, il faut répondre à des critères de maîtrise de la langue anglaise et de dossier scolaire. Il vous sera demandé trois dissertations en anglais, trois lettres de recommandation, un CV en français et en anglais, un bon score au TOEFL (Test of English as a Foreign Language), une traduction du relevé de vos notes en licence, une audition devant un jury. Bref, si l’aventure vous tente, devenir « fulbrighter » est un travail de longue haleine. Mais le jeu en vaut la chandelle, d’autant que les taux d’admissions sont plus élevés qu’il n’y paraît au premier abord. Selon le directeur de la commission franco-américaine, le taux de sélection tourne autour de quatre candidats sur dix, ce qui rend le concours accessible si vous possédez un bon dossier et un bon niveau d’anglais.
Pour candidater, les dates limites dépendent de votre degré de cursus universitaire. Pour les étudiants et les assistants, la date limite est le 1er décembre. Pour les doctorants et chercheurs, le 1er février. Pour plus d’informations, consultez le site de la
Commission fulbright.
Dans tous les cas, pour partir étudier l’esprit tranquille de l’autre côté de l’Atlantique, il est recommandé de prendre une assurance spécialement adaptée à votre vie à l’étranger. Par exemple, l’assurance jeunes à l’étranger d’Allianz Travel vous couvre en cas de vols, frais médicaux à payer, mais aussi en cas de rupture de vos études.
La bourse Fulbright est une formidable opportunité à saisir si vous avez envie de poursuivre vos études aux États-Unis. Si intégrer les plus prestigieuses universités américaines fait partie de vos rêves, vous pouvez dès à présent commencer à préparer votre dossier.